Notre histoire

Le 21 juin 2019, après une mobilisation approfondie et collaborative avec les peuples autochtones de partout au pays, la Loi sur les langues autochtones (la Loi), élaborée conjointement, a reçu la sanction royale. La Loi répond aux appels à l’action nos 13, 14 et 15 de la Commission de vérité et réconciliation du Canada et vise à promouvoir et à appuyer le rétablissement, la revitalisation, le renforcement et la préservation des langues autochtones au Canada.

La Loi reconnaît, entre autres, que l’histoire des politiques et des pratiques coloniales et paternalistes a directement contribué à l’érosion des langues autochtones et affirme que les droits linguistiques autochtones sont reconnus comme des droits autochtones en vertu de la Loi constitutionnelle de 1982 qu’ils doivent être protégés et préservés.

La Loi établit un Bureau du commissaire aux langues autochtones (le Commissariat), avec un commissaire et jusqu’à trois directeurs nommés par le gouverneur en conseil. Le Commissariat est un organisme indépendant et ne fait pas partie du gouvernement fédéral.

Si vous êtes intéressé à lire le profil de la Commission, veuillez SVP cliquer ici.

Une jeune famille autochtone dans un salon, y compris une mère, un bébé, un adolescent et un père assis sur un sofa en arrière-plan. L’enfant en premier plan, un garçon d’environ quatre ans, regarde la caméra en riant.
Une mère autochtone montre à son petit garçon comment jouer un tambour traditionnel.

Notre mission et notre vision

Mission : Le Commissariat promeut et défend toutes les langues autochtones au Canada et soutient les peuples autochtones dans la réappropriation, la revitalisation, le renforcement et la préservation de leurs langues afin qu’aucune langue ne soit laissée pour compte.

Vision : Toutes les langues autochtones du Canada sont stables, dynamiques et prospères.

Deux personnes pagaient en canot sur un lac entouré de pins.

Le commissaire et les directeurs

Sur recommandation du ministre du Patrimoine, le gouverneur en conseil nomme un commissaire et jusqu’à trois directeurs. Avant de recommander des candidats, le ministre doit consulter une variété de gouvernements autochtones et d’autres corps dirigeants, ainsi que diverses organisations autochtones. Le ministre est en outre tenu de solliciter des commentaires pour s’assurer que les administrateurs ont la capacité de représenter les intérêts des Premières Nations, des Inuits et des Métis.

Les premiers directeurs et commissaire aux langues autochtones sont entrés en fonction le 12 juillet 2021.

Ronald E. Ignace
Ronald E. IgnaceCommissaire
Robert Watt
Robert WattDirecteur
Georgina Liberty
Georgina LibertyDirectrice
Joan Greyeyes
Joan GreyeyesDirectrice

Notre logo

L’image de marque du Commissariat célèbre la diversité des langues autochtones.

Des formes quadrilatérales aux couleurs vives se réunissant en un point central symbolisent les trois groupes autochtones : les Premières Nations, les Inuits et les Métis.

Les 12 rubans qui entourent le logo symbolisent les groupes de langues parlées. Outre les langues autochtones verbales et écrites, nous souhaitons tenir compte d’autres moyens de communication tels que la langue des signes autochtone, le braille inuktitut, les contes et les chansons.

Les motifs colorés qui ornent les bords s’inspirent des rubans, des fils tissés et des tissus cousus que l’on trouve dans l’artisanat et les vêtements autochtones.

Les lignes dynamiques en expansion créent un sentiment de mouvement, montrant comment les langues sont un don vivant transmis et célébré dans toutes les directions de toute l’Île de la Tortue et de l’Inuit Nunangat.

Notre logo

L’image de marque du Commissariat célèbre la diversité des langues autochtones.

Des formes quadrilatérales aux couleurs vives se réunissant en un point central symbolisent les trois groupes autochtones : les Premières Nations, les Inuits et les Métis.

Les 12 rubans qui entourent le logo symbolisent les groupes de langues parlées. Outre les langues autochtones verbales et écrites, nous souhaitons tenir compte d’autres moyens de communication tels que la langue des signes autochtone, le braille inuktitut, les contes et les chansons.

Les motifs colorés qui ornent les bords s’inspirent des rubans, des fils tissés et des tissus cousus que l’on trouve dans l’artisanat et les vêtements autochtones.

Les lignes dynamiques en expansion créent un sentiment de mouvement, montrant comment les langues sont un don vivant transmis et célébré dans toutes les directions de toute l’Île de la Tortue et de l’Inuit Nunangat.

Source de photographie: Jerome Cartworks